Bonjour
suite à une discution avec un collaborateur, inquiet, soulevant une question cruciale que tout le monde se pose, je fais le relais en posant ceci:
Sur Meylan, quelqu'un qui passe en inter-contrat ne sait plus maintenant de qui il dépend pour être replacé.
Certains semblent (pour ma part c'est sur) dépendre de quelqu'un basé à Orléans.
Comment cette personne, basée à Orléans ou ailleurs, peut-elle recaser quelqu'un sur Grenoble? Connait-elle suffisamment le bassin Grenoblois, le GTPC, etc?
Comment, avec un échange par mail, voir téléphonique, peut-elle apprécier la situation dans tous les sens du terme (travail, ambiance, etc) du collaborateur?
Je pense que c'est encore une escalade dans la dilution des responsabilités de la hiérarchie.
Et aussi le confort de ne plus avoir, en face de soi, un collaborateur à la fois déboussolé, énervé, etc.
Ce dernier ne pourrait plus, dans le pire des cas, s'en prendre physiquement au manager (ce que je ne souhaitais pas mais qui aurait pu arriver surement un jour).
Cordialement Bressy frédéric
suite à une discution avec un collaborateur, inquiet, soulevant une question cruciale que tout le monde se pose, je fais le relais en posant ceci:
Sur Meylan, quelqu'un qui passe en inter-contrat ne sait plus maintenant de qui il dépend pour être replacé.
Certains semblent (pour ma part c'est sur) dépendre de quelqu'un basé à Orléans.
Comment cette personne, basée à Orléans ou ailleurs, peut-elle recaser quelqu'un sur Grenoble? Connait-elle suffisamment le bassin Grenoblois, le GTPC, etc?
Comment, avec un échange par mail, voir téléphonique, peut-elle apprécier la situation dans tous les sens du terme (travail, ambiance, etc) du collaborateur?
Je pense que c'est encore une escalade dans la dilution des responsabilités de la hiérarchie.
Et aussi le confort de ne plus avoir, en face de soi, un collaborateur à la fois déboussolé, énervé, etc.
Ce dernier ne pourrait plus, dans le pire des cas, s'en prendre physiquement au manager (ce que je ne souhaitais pas mais qui aurait pu arriver surement un jour).
Cordialement Bressy frédéric